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Défaut fatal: fierté
roman waithe | hazy dream
Poignard — en or impérial, ce poignard est une arme secondaire en cas de perte de son gladius, il s'en sert donc très rarement.
Actif : manifestation chimérique — Roman can make your dreams come true. Pour le meilleur et pour le pire, ce slogan digne d'une publicité de coca-cola des années 80 peut vous faire voyager dans vos rêves comme s'ils n'étaient qu'une douce réalité ou vous faire revivre vos propres cauchemars... pour de vrai ! Si ce pouvoir est très utile contre ses adversaires les plus terribles, il agit différemment sur les personnes. Sa durée maximale est, approximativement, de cinq à dix minutes. Néanmoins, plus il pousse son utilisation plus il risque de terribles maux de têtes et, voir, un évanouissement soudain. Il peut aussi ne faire apparaître qu'une partie : un endroit, un monstre ou simplement un objet sans tout le reste qui reste plus simple à créer. Enfin, le rêveur éveillé peut comme tout rêveur avoir conscience de la supercherie et reprendre sa lucidité.
Être un demi-dieu n’est, tout compte fait, pas si différent. Nous nous perdons dans les fabulations que nous content nos parents qui nous donnent la vocation de « sauver le monde ». Si vous voulez mon avis, il s’agit plus de les sauver eux du monde qu'ils ont créés et dont ils ont totalement perdu le contrôle. Dans cela, chacun y trouve son lot de réconfort : gloire, reconnaissance, loyauté ou amour. Pour ma part, rien de tout ça ; ce que je cherche c’est le confort matériel, une vie paisible et calme où seul l’esprit devrait s’échauffer. Alors comment en suis-je arriver à servir la légion si je ne crois pas en ces sornettes ? Déjà, ma mère est morte. Ensuite, y’a eu tous ces enchaînements qui m’ont amenés au Camp Jupiter et cette fameuse quête... J’aime pas trop en parler mais si vous voulez tout comprendre, ça semble nécessaire. Bref, pour ça je dois remonter quelques années en arrières.
Premier rêve
Dans une pièce sans portes, ni fenêtres, je voyais mon reflet dans un miroir fixer au mur. Celui d’un latine-américain d’une trentaine d’année. Quand j'ai pris conscience de mon apparence, ça a été comme si ma propre existence en ces lieux avait commencée à naître. La faible lumière qui exaltait l’espace cloisonné s’est mise à chanceler puis je me suis sentis étouffer. Comme enfermé. Je voyais désormais sous mes yeux, dans ce miroir, mon monde s’écrouler : faillite, perte familiale, trahison.
C’est là que j’ai réalisé. Ce n’était pas moi. Ça ne pouvait pas l’être. J’avais d’autres inquiétudes que celles-ci. Tout à coup, mon corps s’est dissocié de celui dont j’avais subtilisé le rêve. Il m’a regardé : “Qui êtes vous ?“. Le noir total. Fin du rêve.
D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours su que j’étais différent. Si connaître les rêves des autres peut apporter quelque chose, c’est bien la connaissance de soi. J’avais cinq ans quand j'ai eu ce premier rêve et je n'ai pas tardé à percer à jour les secrets les plus insolites de l’humanité. Je pense que je refusais d’y croire pleinement, pourtant, mon père m’envoyait des signes. En grandissant, j’ai appris à comprendre et me servir de ce pouvoir. Je pouvais ruiner des existences entières en répétant ce que je voyais. Ce que je savais. La naïveté infantile n’allant pas de pair avec le fait de garder un secret, ma mère a donc très vite été alertée. C’était une femme très spirituelle ma mère, née sous le signe du Scorpion, elle a tout de suite pensée à une sorte de clairvoyance. Un médium dans la famille ! Qu’est-ce que c’était beau. Le destin m’avait bien fait. Moi ça m’était indifférent.
Elle n’était pas au courant pour mon père. J’avais eu le droit à tout à un tas d’histoires à propos de lui : assassiner parce qu’il était un militant écologiste, une célébrité américaine trop connue pour assumer sa parenté, un homme marié. La vérité c’est qu’elle ne savait même pas qui il était. Je ne lui en voulais pas. C’était une drôle de rêveuse ma mère et ça dans tous les sens du terme. La nuit elle rêvait d’avoir une autre vie, quelque fois sans moi, en tout cas jamais en me donnant naissance aussi tôt. Lorsqu’elle a rencontrée mon père elle étudiait la psychologie à Colombia. Fruit d’une bourse bien méritée pour les personnes des zones dites “sensible“ , elle était s’était démarquée pour son génie. Elle avait pourtant dû partir en m’ayant à sa charge et s’était reconvertie dans la photographie. J’aimais ça, la photographie. La traque de l’instant. La fabrication de l’éternel.
On photographiait un moment pour en faire un souvenir mais on ne pouvait pas photographier un rêve. Ce qui signifiait que le rêve était éphémère et qu'il ne durerait pas. On l'oublie forcément toujours. Moi, pourtant, je me souvenais de tout. J'étais la pellicule qui gardait confiner en lui ce que personne ne développera jamais.
J'ai arrêté de compter en rêve
Ce monde n’est qu’un champ de bataille. Nous écrase et nous étouffe. J’ai cessé de penser à m’en sortir quand j’ai compris que le plus difficile des combats à mener c'était de rester bienveillant à tout prix. Dans une existence putride par la corruption et l’ennui, on peine souvent à diriger nos vies différemment. En comprenant comment naissent et meurt les rêves, on comprend qu’ils n’ont une durée que déterminée dans nos existences. Qu’arrive un moment où un rêve se meurt souvent assassiner par la corruption. C’est là qu’arrive l’ennui, lorsqu’on a plus rien pour rêver. C’est ce qui était arrivé à ma mère.
Soudain, la lumière s’était allumée dans sa vie, dans cette chambre d’hôpital où elle avait donnée naissance à un fils. Ses cheveux noirs de jais, ses yeux sombres comme une nuit sans astres, sa blancheur de craie, il n’avait rien d’elle. Il était d’une autre personne et d’un autre monde. Elle le savait au fond d’elle pourtant ils étaient si biens ensembles. Elle le serrait fort contre elle. C’était le début d’une nouvelle histoire qu’elle allait commencée avec lui avait-elle dit à la sage-femme.
Changement de décor.
Je déambule dans les salles d’un musée imaginaire. Seul, je suis le maître de ces espaces où sont placardés en disharmonie les photographies de l’inconscient. Parfois je m’arrête plus longtemps sur certaines mais ce que je veux à tout prix c’est trouver mon chemin vers la sortie.
Le vide absolu, qu’il soit physique ou spirituel, de ce white cube m’était devenu insupportable. Dans ce royaume immaculé, celui de mon père, j’avais compris que la connaissance des autres, comme de soi, était la voie royale vers la solitude et l’incompréhension collective. Tout le monde me traitait comme un illuminé, comble de l’ironie lorsqu’on sait que moi j’avais compris tout ces gens. Ils détestaient que j’en sache autant. Être apprécié c’est la qualité de ceux qui ne savent rien. Qui n’ont rien d’autre que ça.
Mon enfance a été un désastre total. Si désastre est un terme suffisant pour décrire à quel point j’ai pu me sentir rejeté. L’école, les institutions, la société, tous s’étaient accordés à me détester. Seule ma mère n’avait pas abandonnée. Ou c’est ce que je croyais avant qu’elle ne mette fin à ses jours. On aurait pu croire que cet épisode aurait hanté les nuits. Il se trouve pourtant qu’elles étaient déjà occupées par les préoccupations des autres. C’était comme si ma peine n’avait pas lieue d’exister dans un monde où les maux d’autres prédominaient mon existence. Je n’étais absolument rien.
Avant d’arriver aux services sociaux, Lupa m’a trouvée. J’ai été guidé, éprouvé et entraîné. Je n’avais rien alors ça c’était toujours mieux. Très vite, la réalité m’est apparue. Sur mes origines et celles du monde.
Douce nuit
Quand s’éveillait les consciences torturées de mes camarades, c'est là que mon repos commençait. J’avais finalement intégré la légion un an après mon arrivée. Troisième cohorte. Je n’avais rien de particulier pourtant mes différentes habilitées avaient attirées l’attention du centurion. Ici, je me sentais mieux. Difficile de dire que je me sentais bien mais disons que j’avais tellement souffert que les choses paraissaient un peu plus simple. Désormais compris par mes compères qui avaient vécus le même enfer que moi, j’avais toujours beaucoup de mal à m’ouvrir. Personne n’était prêt à encaisser ça, pas même moi.
Pourtant, j’ai rencontré cette âme errante comme la mienne, Marian. Il était beau, fort. C’était ce genre de garçon apprécié de tous. Un soleil illuminant la voie de mon avenir pourtant jusqu'alors assombris par la tourmente de mes peines. Nos deux âmes ont directement fusionnées, donnant au mythe des âmes sœurs raconté par Platon tout son sens.
Jusqu'alors, nous avions éviter ce qui paraît inévitable pour ceux de nôtre genre. Même lorsque le Tortionnaire s'en était pris aux demi-dieux, Marian et moi avions réussis à vivre heureux. Bien que la peur pouvait nous gagner parfois, les rêves qui tourmentaient mes compères à son sujet n'avaient pas l'air si affreux à ses cotés. Son courage m'apaisait et sa douceur m'enivrait. Avec lui je vivais et c'était là toute l'ironie de la chose car je ne pouvais vivre sans lui, et lui sans moi. Puis un jour tout a basculé.
La lune était haute, illuminant l’épais rideau de fleur dans lequel j’étais allongé. Enserrer par une forêt sombre, j’aurai eu du mal à identifier un endroit précis sur terre. Partout et ailleurs, c’était là que j’étais. L’odeur qui se dégageait de mon lit végétal me donnait envie de me blottir, de m’enfoncer encore plus en son sein. Enivrer par le sommeil je n’avais même pas réaliser que j’étais deja endormi. Le plus troublant c’est que j’étais seul. Ce rêve m’appartenait-il ? Difficile à dire, difficile de penser clairement. Je luttais contre moi-même pour rester conscient.
Avant que j’ai pu donner son sens à ce rêve, il m’est apparu. Il rayonnait d’une aura inexplicable dont je ne pouvais me défaire. Sa nature divine était évidente. Pourtant, contrairement aux dieux que j’avais pu rencontrés auparavant, celui-ci n’avait pas de formes. Il était une silhouette, changeante et instable. Soudain, il s’est changé en papillon. Il s’est posé sur le bout de mon nez et j’ai ouvert les yeux.
Lorsque je me suis réveillé, je savais ce qui venait de se passer. C’était mon père. Pourquoi m’était-il apparu cette nuit et pas une autre ? Difficile à déterminer. Tout ce que je savais c’est qu’il était souffrant et que je devais l’aider. Pourquoi moi ? Seul le temps allait me le dire. J’étais alors poussé par une force insoutenable qui allait me mener à ma perte ; ou à mon éveil.
Je suis parti à sa recherche le lendemain. Beaucoup d’intrépides s’étaient présentés à moi pour me proposer leur aide. Je n’avais choisi que deux d’entre eux ; dont Marian. Je savais déjà que de cette quête je reviendrai différent alors imaginez ma réticence à emmener l’être le plus cher à mes yeux. C’était ce que Somnia m’avait demandé.
Un réveil brutal
Désormais animée par le calme las de l'aube.
Ici les songes règnent et le silence éclaire,
Mes pensées funestes, d’une mort toujours probe.
Alors qu’à minuit entre elles, les étoiles s’étreignent.
Répandant une claire lumière qui perce les ténèbres.
Illumine la voie de mon passé, qui pèse à présent,
Sur la chimère d’un futur sans ombres.
Lorsque de mes rêves succombent les songes d’un meilleur avenir, bercer par la complainte du passé dans lequel je ne vois que la peur, une crainte irrépressible dont je ne peux me défaire. Les affres de souvenirs qui ont fait de moi celui que je suis. Ces mêmes souvenirs qui m’ont fait perdre toute confiance en ce monde. Un monde où même l’amour est laissé pour compte. Un monde où mes ambitions et mes sentiments n’arrivent pas à trouver leur place.
Cette quête n'avait laissé de moi que du vide. Somnia n’était plus que l’ombre de lui-même en perdant son attribut principal : le pavot. Moi, même mon ombre m'avait abandonnée. Marian avait décidé de quitter la route après une violente dispute. J’avais décidé d’abandonner à obéir. J’avais perdu foi en les dieux qui chaque fois nous poussaient vers la fin. Lui rêvait encore. Miraculeusement, j'avais retrouvé l’artefact de mon père volé par un de mes demi-frères grec qui s’était retourné. Malgré le succès de ma quête, l’acte de mon demi-frère m’avait fait beaucoup réfléchir. Pourtant, le procédé me faisait lui aussi douter. C’était ridicule et pitoyable. Rien ne pouvait contrecarrer le plan des dieux. Alors j’ai succombé à la paresse et au cynisme, j'ai même pensé à mourir.
Aujourd’hui, je reviens au Camp Jupiter, glorieux mais désolé. C’était le seul endroit où j’avais encore une place. J’ai revu en passant celui qui avait autrefois réchauffé mon cœur. Son ignorance m’a d’autant plus anéanti. Qu’allais-je devenir ? Ça, seul les dieux le savaient, et c’est bien ce qui me faisait peur.
On pourrait croire qu’il n’existe qu’en noir et blanc, comme un développement argentique. Sa chevelure sombre, ses yeux aussi noir que le ciel nocturne sont a priori lié à l’ascendance divine entretenue avec Nox. Comme un rêve, on pourrait presque l’oublier dans la foulée juste après l’avoir rencontré.
Il grade toutefois une part de charme avec son sourire malicieux qui est sûrement ce qu’il apprécie le plus face au miroir. Malgré ça, il a toujours eu du mal à se trouver attirant ce qui l’a toujours poussé à entretenir une certaine apparence. Lui qui voudrait vivre dans la réalité plutôt que dans les rêves aurait apprécié avoir une apparence un peu plus charmante. Alors il comble avec le style. On reconnaît dans sa façon de s’habiller la mode streetwear qu’il apprécie particulièrement.
Depuis le retour de sa quête, il y a de cela un mois, il a perdu toute saveur. Il n’est plus que l’ombre de lui-même. Fade et sans vie, il tente d’éviter au plus les personnes qui l’ont connus auparavant parce que prétendre est devenu trop difficile pour lui. Il n'est que tristesse et dégoût.
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Re: roman waithe | hazy dream
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Re: roman waithe | hazy dream
C'est un fabuleux départ de fiche de présentation : tu as une plume incroyable, je viens de dévorer ton début d'histoire digne d'un roman. "née sous le signe du Scorpion" j'ai pouffée. Le rapport à son pouvoir est génial et j'ai hâte d'en découvrir plus sur Roman !
Au plaisir de te croiser en jeu
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Défaut fatal: Sa peur, non avouée, des sentiments
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Défaut fatal: fierté
Re: roman waithe | hazy dream
J'en profite pour up ma fiche désormais terminée.
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Re: roman waithe | hazy dream
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Re: roman waithe | hazy dream
Comme je te l'ai déjà dit, j'adore ta plume que je trouve très fluide. La mélancolique aigreur de ton personnage me rappelle un peu le personnage d'Ava et j'ai déjà hâte de parler d'un lien entre eux. En attendant ce moment délicieux, je vais te demander juste deux petits ajustements sur ta fiche :
• Pourrais-tu définir une limite dans le temps pour les illusions que ton personnage met en place avec son actif ? Bien sûr, ça peut varier. Les esprits faibles et forts ne réagissent pas de la même façon ! Mais une fourchette et peut-être un petit effet secondaire quand il abuse trop de son pouvoir seraient fortement apprécié !
• Une phrase ou deux dans ton histoire concernant l'épisode du Tortionnaire serait chouette ! Ton personnage peut tout à fait en avoir eu rien à foutre et avoir regardé tout ça de loin sans s'en mêler. Peut-être que toute l'ironie de sa quête terrible est là : lui qui a réussi à éviter le Tortionnaire et ses tourments, le voilà malmener par son propre paternel. A ta convenance !
Merci !
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Re: roman waithe | hazy dream
Je viens de corriger les deux éléments qui m'ont été demandés.
Merci beaucoup pour les commentaires !
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Re: roman waithe | hazy dream
Voilà un personnage comme on les aime ! Torturé, moralement gris, avec un million de chemins possibles devant lui. Nous avons hâte de le voir en jeu !
À partir de maintenant, ta fiche n'est plus modifiable. Si tu souhaites changer quelque chose, il faudra passer par un•e admin. Si tu as des questions, n'hésite pas ! Et surtout, amuse-toi bien sur le forum !
guide du validé
Tu as maintenant accès à l'entièreté du forum. À toi les balades à dos de pégases, les escalades du mur du lave, les sessions du Jeu de siège et autres amusements divers et variés ! Le monde est grand, alors pour ne pas te perdre, voici un petit guide qui te mènera vers les beaux plus endroits du forum :
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▬ Les journaux intimes te sont vivement conseillés si tu désires faire le point sur tes relations avec les autres ou voir un peu qui est ami avec qui. Ils te permettront également d'organiser tes rps !
▬ Pour bien commencer dans ce forum, il faut rp. Les demandes de rp sont donc ouvertes à tous ! Va jeter un coup d’œil aux demandes en cours ou ouvre la tienne ! Qui sait, tu trouveras peut-être quelqu'un pour partir en quête avec toi...
▬ Tu as peur d'avoir trop de PP et de crouler sous cette puissance inutilisée ? Viens augmenter ton pouvoir ou acheter des objets magiques !
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▬ Après toutes ces émotions, tu as peut-être envie de te détendre ? Le Casino Lotus ouvre ses portes juste pour toi ! Et si ce n'est pas suffisant, viens lire les précédentes éditions du Satyre Déchaîné, le journal fait par et pour les êtres mythologiques !
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