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The storm as father - Narcisse
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Narcisse Milburn
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Narcisse MilburnHabitant·e du quartier Kolonaki
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The storm as father - Narcisse

NARCISSE MILBURN
Sans aucune rancune. Non, aucune !

Age | 20 ans Groupe | Grecs Parent divin | Zeus Feat | Tom Holland

Armes
Une simple épée en bronze céleste, obtenue durant mon adolescence chez les Amazones. Elle a la particularité de se transformer en bracelet d'argent, qu'il me suffit de décrocher pour faire sortir mon arme.

Il possède également un taser afin de se servir au mieux de son pouvoir.

Pouvoirs
Pouvoir passif - Charisme exacerbé

Son père est le roi des dieux, après tout. Aussi, quand Narcisse parle, on l'écoute. Quand il élève la voix, on retient son souffle. Il sait manier les mots comme personne, bien souvent pour manipuler les foules plus que pour faire le Bien. Pour autant, c'est bien loin de l'enjôlement, puisque cela ne lui permet en aucun cas de manipuler les autres. Disons simplement que ça lui octroie un charisme assez détonant.

Pouvoir actif - Contrôle de l'électricité.

Narcisse, en bon fils du dieu de la foudre, est capable de la manipuler. De façon assez limité cependant. En intérieur ou en dehors des murs de la Colonie, il peut utiliser son environnement pour dévier les courants électriques et s'en faire obéir. En extérieur et sans source d'électricité environnement, il possède un taser qu'il peut actionner pour en dévier le courant et donner de petites décharges. Mais attention à ne pas a court de batterie. Son pouvoir est bien évidemment beaucoup plus utile lorsque le temps est orageux.


Half blood, half human
all heroes

Histoire


Je pense, si je dois être tout à fait honnête, que j’ai espéré toute ma vie un signe, une reconnaissance, une quelconque marque de gratitude de mon paternel. L’adage des enfants d’immortels me direz-vous, même si une part d’égoïsme me pousse à penser que ce genre de désillusion ne s’abat que sur mes petites épaules. Sûrement pour me rassurer. Quoiqu’il en soit, j’ai longtemps attendu ce signe providentiel de celui que ma mère désignait comme mon géniteur.

Une belle dame, ma mère. Un peu barjot sur les bords, avec ses envies de matricide et ses pulsions de paranoïa, mais une belle dame quand même. Après tout, qui n’a jamais tenté de mettre du poison dans le biberon de son nouveau-né « juste pour confirmer un truc » ?  

Bon d’accord, je crois bien que je vais devoir vous donner plus de contexte. Hésitez pas, si ça vous saoule de tout lire – et les Dieux savent à quel point mon écriture peut être barbante et pleines d’alitérations inutiles – à vous rendre au dernier paragraphe de mon petit récit. C’est là que vous aurez toutes les informations importantes, petites fouines que vous êtes.

Chapitre I, sobrement intitulé « Ma naissance »

Esperanza Milburn, ma mère, n’était âgée que de vingt-deux ans lorsqu’elle tomba enceinte. Couturière dans une entreprise de textile de Boulder City, à l’extrême-sud du Nevada, elle avait grandi dans la misère et la décadence la plus totale. Ses parents peu enclins à s’occuper d’elle correctement, elle fut confiée dès son plus jeune âge aux services sociaux et orientée vers un orphelinat. Orphelinat qu’elle ne put quitter qu’à ses dix-huit ans, après une vie auprès de sœurs marrâtes et bien loin de la piété qu’elles imposaient aux autres.

Aucune famille, aucun repère, personne pour elle. Elle avait connu chaque enfant passé par les bons soins de l’orphelinat partir pour rejoindre un nouveau foyer. Mais, d’Esperanza, personne ne voulut. Déjà enfant, et suite certainement à des sévices commis au début de sa vie, la jeune fille boitait. Des douleurs à la jambe gauche qui l’a faisait souffrir un peu plus chaque jour, et l’obligea, dès ses huit ans, à utiliser une canne pour se déplacer. Alors, quand une famille venait visiter l’orphelinat et rencontrer les enfants, personne ne voulait de la gamine à la canne. « Trop de frais médicaux », « Que vont penser les gens ? ». Chaque phrase était un calvaire a ses oreilles, quand elle attendait patiemment derrière la porte du bureau de la Mère supérieure que quelqu’un veuille bien avoir pitié d’elle.

À dix-huit ans donc, et sans aucun remords, elle prit son envol. Finit le couvent et bienvenue la vraie vie. Mais la vraie vie, elle aussi, était cruelle.

Sans diplôme, sans relation, une jeune femme sortie de nulle part n’avait que très peu de moyens de s’en sortir en 1943. La guerre faisait rage sur l’ancien continent. La seule industrie qui accepta d’embaucher Esperanza fut cette du textile. C’était soit ça, soit être enrôlée comme infirmière et partir au front. Le choix fut rapidement fait pour ma mère, qui négligea ses ambitions de reconnaissance pour embrasser la voie des roturiers.

Je n’ai aucune idée de la manière dont elle a rencontré mon père. Vous vous attendiez peut-être à ça en lisant mon histoire. Voir la rencontre entre la mortelle et le grand seigneur Zeus, Roi des Olympiens, Dieu parmi les dieux. Et pourtant, il n’en sera rien. Je ne sais pas comment ils se sont connu, ma mère ne m’a jamais rien dit à ce sujet. Juste que c’était un soir d’hiver, qu’il lui est apparu sous l’abord d’un bel homme blond, et qu’ils ont eu une courte mais intense aventure. Puis, quand elle est tombé enceinte, il a disparu.

Je ne sais toujours pas, a l’heure actuelle, comment elle a pu savoir que mon père était une divinité. Peut-être avait-elle le don de voir à travers la Brume ? C’était rare mais ça pouvait arriver chez certains mortels. Quoiqu’il en soit, dès ma plus tendre enfance, elle avait la certitude que je n’étais pas ordinaire. Sûrement est-ce pour tester mon côté extra qu’elle a empoisonné mon biberon. Rien de bien méchant – si l’on veut – puisque j’y ai survécu après qu’elle fut prise de remords et qu’elle m’a amené à l’hôpital. Mais cet événement marqua la fin de ma vie au domicile familial puisque, comme elle par le passé, je fus retiré à sa garde.

Chapitre II, ou comment j’ai traversé les décennies.

La suite de mon enfance ne fut pas bien glorieuse. Une succession de familles d’accueil et de foyers pour enfants à problèmes dans lesquels je n’ai séjourné que quelques temps. La faute à mon hyperactivité, et peut-être à mon tempérament légèrement rebelle sur les bords. Les limites, les règles, les lois, c’était pas franchement pour moi.

J’ai eu quelques contacts sporadiques avec ma mère durant les premières années de ma vie. Des lettres principalement, et quelques visites encadrées par des assistantes sociales. Mais son état mental a rapidement fait comprendre à tout le monde qu’elle n’était pas en capacité d’assurer mon intégrité, et on m’a imposé de rompre ce lien bien maigre.

C’est à mes onze ans que j’ai effectué ma première fugue. Et la dernière, soit dit en passant. J’étais alors hébergé chez une famille exécrable, dont les intentions uniquement financières étaient assez claires.

Je me suis alors retrouvé dans les rues, errant de mon saoul sans conscience de ce que je faisais et des dangers qui me guettaient. Je suis pleinement alerte aujourd’hui sur le fait que j’aurais pu mourir a chaque instant. Il aurai suffit qu’un monstre me cueille dans un coin de rue et Pouf ! Plus de Narcisse.

Mais un malheur en entraînant un autre, j’ai eu la malchance de rapidement tomber sur le Casino Lotus. J’étais bien jeune, à errer dans Las Vegas, cette ville que j’avais rejoins en bus par mes propres moyens. Une intuition, sûrement. J’ai navigué quelques jours dans des hôtels miteux, là où personne ne s’inquiétait d’un enfant si jeune livré à lui-même. L’argent que j’arrivais à gagner en m'attirant la sympathie des flambeurs de passage me permettait d’avoir un toit sur la tête, quelques nuits supplémentaires. Jusqu’à ce que, pour une raison que je ne m’explique pas, je franchisse les portes de ce Casino des Enfers.

Je ne me souviens pas réellement de ma vie là-bas. Le temps y est trouble, les souvenirs embrumés. J’ai l’impression que tout n’a duré qu’une soirée, voir une de plus. Je me souviens des fleurs de lotus, du goût exquis, des lumières et des autres âmes perdues. Je me souviens de la musique, de l’allégresse d’être enfin moi-même. Cette impression d’être à ma place, pour la première fois de ma vie.

Puis la réalité s’est imposée à moi. Et d’une façon bien violente, bien jaillissante. Un éclair d’or au-dessus de la tête et le corps entouré d’une aura électrique. Mon père venait de reconnaître son fiston, même si je n’en avais aucune idée à l’époque. Cet éclair, cette lumière, ce brusque changement dans ma petite réalité bien ancrée dans le Casino me fit reprendre mes esprits.

Était-ce la lueur vive de l'orage au-dessus de ma tête ? La bénédiction qui m'entourait soudain et me rappela que je n'avais rien a faire ici ? Ou peut-être l'afflux soudain d'énergie dans mon corps ? Quoiqu'il en soit, l'effet des fleurs disparu. Mon esprit embrumé revint à lui. Mon esprit, assaillir par milles questions sur cet événement particulier qu'était la Revendication se refusa à l'emprise magique du Casino. Ou peut-être était-ce simplement mon père qui avait choisit ce moment exact pour m'aider à reprendre conscience ?

L’illusion se brisa et je finis par comprendre qu’il était temps pour moi de quitter les lieux. Non sans mal et quelques péripéties d’infiltrations pour échapper à la vigilance des Lotophages, je suis parvenu à franchir les portes et m’extraire de ce huis-clos infernal.

Mais le monde dans lequel j’ai atterri était bien loin de celui que j’avais connu. Mon premier regard, une fois à l’extérieur, se posa sur les voitures. Elles n'avaient plus rien avoir avec celles que je connaissais. Les lumières étaient beaucoup trop vives, les sons beaucoup trop forts. Les gens arboraient des tenues que je ne reconnaissais pas et parlait d’une façon que j’avais du mal à comprendre.

Perdu, je m’engouffrais dans cette nouvelle Vegas sans avoir conscience que le danger me guettait à chaque pas. Maintenant que mon paternel avait officiellement apposé sa marque sur moi, mon odeur était devenue bien plus alléchante pour les monstres du coin.

Chapitre III, ou comment j’ai intégré une multinationale.

2014. Les affiches autour de moi ne pouvaient pas mentir. J’avais fais un bond de cinquante ans dans le temps. J’étais entré dans le Casino en 1958, et j’en ressortait des années après. Plus de 50 ans d’absence, qui ne m’ont paru être que quelques jours. Autant dire que, déjà que perturbé par ma fugue, je n’en fus pas moins désorienté. Seul et apeuré par tout ce monde que je ne comprenais pas, je faillis me faire avaler par un monstre qui passait par là. Je ne du mon salut qu’à la présence d’une femme d’âge raisonnable qui s’occupa de la créature d’un coup vif de la lame de son épée.

Edwige, une Amazone. C’est elle qui m’a tout expliqué. Tout sur mon ascendance, sur mes origines, sur les dangers qui me guettaient et le monde dans lequel je venais d’atterrir. Elle m’a conté les légendes autour du Casino Lotus, sur le monstre qui m’avait attaqué – un Lestrygon – et sur ce qu’impliquait ma condition de demi-dieux. Des informations que j’ai mis des semaines à assimiler. Aujourd’hui encore, je me souviens des longues nuits que j’ai passé à cogiter, alors que nous arpentions tous les deux les différents états américains pour rejoindre la côte Est des États-Unis.

Je ne sais pourquoi, mais elle avait décidé de me prendre sous son aile. Elle, qui appartenait à la tribu guerrière des Amazones, souhaitait me mettre à l’abri dans un de leurs repères. « Là-bas, on te laissera tranquille. », disait-elle. Pour la première fois, j’ai eu confiance. Pour la première fois, on m’a écouté. Pour la première fois, on m’a rassuré.

Auprès d’elle, j’ai pu développer mes instincts de guerrier. Près de ses sœurs, j’ai appris à contrôler les pouvoirs qui s’éveillaient en moi. J’ai même pu rencontrer une autre enfant de Zeus. Et les années ont filés. À vive-allure, presque aussi rapides que celle que j’ai passée au sein du casino.

Puis vint le Tortionnaire. Ses manigances et ses affronts à l’égard de toutes les communautés mythologiques firent sortir les Amazones de leur relative neutralité. J’ai assisté à ce conflit d’un œil extérieur, bien à l’abri dans le repère des guerrières. Mais j’en ai vu partir. Et j’en ai vu bien peu revenir. Et cela a finit de forger les quelques convictions que j’avais sur ce nouveau monde : tout est pourri. Les gens meurent pour des causes en lesquelles ils ne croient presque pas. L’espoir se tari et les dieux ne font rien pour parvenir à apaiser les tensions. Mon père en première ligne.

Jusqu’à ce que, sur les conseils de quelques Amazones, je ne quitte le réconfort de leur entrepôt pour rejoindre un endroit où j’aurais ma place pleine et entière : la Colonie des Sang-mêlés, refuge pour ceux de mon espèce. Et plus précisément le Quartier Kolonaki, ou la Nouvelle-Athenes. Nouvelle vie.

La fin

Je me permets un Mea Culpa. Je vous ai promis un récapitulatif de mon histoire en fin de cette partie, mais je vous ai menti. Tout comme dans l’histoire que je viens de vous raconter. Des parties sont biaisées, d’autres volontairement laissées sous silence. Sûrement ne suis-je pas le jeune homme parfait que je laisse entendre de prime abord. Tout le monde a sa part sombre. Et croyez bien que la mienne s’est forgée dans le nombre d’années que j’ai passé à naviguer entre les mains de tous ceux qui ont voulu s’occuper de moi.



Physique

Je suis beau. Oui, je le sais, c’est narcissique, mais c’est aussi un fait. N’oubliez pas d’où vient mon prénom : d’un gars qui s’est noyé en contemplant son propre reflet. Et puis, regardez mes cheveux. Soyeux, mi-longs, bruns et coiffés à la mode des années 50. Une coupe qui a son charme et fait généralement son effet sur les autres. Parce que oui, l’approbation de mes pairs sur ma personne, c’est avant tout ce que je recherche.

C’est pour cela que je m’accoutre généralement de beaux costumes qui semblent hors de prix, mais qui sont en réalité de bonnes contrefaçons fournies par ma mère adoptive, travaillant pour une multinationale bien connue des mortels et des divinités. Mon style vestimentaire peut paraître désuet et légèrement vieillot mais je trouve que les vêtements d’aujourd’hui enlaidissent plus qu’ils n’habillent. Moi, j’aime ce qui vient de mon époque, ce qui me rappelle les grands hommes de mon temps. Ce charme de l’ancien que j’admire encore.

Mon regard transpire la confiance. Il peut être transperçant comme la foudre ou tempétueux comme le plus violent des orages. J’aime me dire que je tiens la couleur noisette aux reflets gris de mon paternel, même si c’est finalement la seule chose que je pourrai avoir de lui tant je ressemble à ma mère. On dit de mes yeux qu’ils sont beaux. Et je suis d’accord avec les on-dit.  

Ma démarche est assurée, voire plutôt guinguandée. Je sais avoir la classe et le style lorsque cela est nécessaire, quitte à en faire plus que de raison afin d’impressionner la galerie. Hors de question que l’on pense de moi que je ne suis qu’un simple roturier alors que ma vie aurait dû être celle d’un aristocrate en devenir.


Caractère

Mensonges, fourberies et apparence. Voilà que ce que je laisse transparaître, enlaidissant la vérité pour masquer mes réels sentiments. Sans être une crapule profondément mauvaise, je souhaite tout de même que tout se passe selon mes envies, quitte à me faire mal voir par le reste de la communauté. L’ordre, la discipline et les règles ne sont pas pour moi. Ou tout du moins fais-je en sorte de les respecter tout en les transgressant à demi-mots par mes actes dissimulés.

Une façade qui cache un profond mal-être : ce monde n’est pas le mien. J’ai été forcé d’atterrir ici, alors que j’aurai pu simplement mourir il y a 50 ans. Je ne connais pas grand-chose aux différents conflits qui ont parcouru le monde en mon absence, mais j’ai pu me renseigner dessus pendant mes années chez les Amazones. Ce monde est gangrené. Encore plus qu’à mon époque. Et les dieux y sont pour quelque chose. Le Tortionnaire. Les monstres. Les rancœurs. Tout cela vient d’eux. Et j’en suis venu à détester ce sang qui coule dans mes veines.

Alors, et même si je peux me montrer agréable et avenant, c’est bien souvent pour servir mes intérêts. Je suis rarement honnête, toujours transgressif. On a du mal à saisir ce que je pense, tout autant qu’on peut difficilement envisager mon prochain coup. Je suis le fils du Roi des dieux, et je prouverai au monde entier que ce pouvoir qu’on a mis entre mes mains me servira à faire changer les choses. Durablement. Drastiquement.



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Pseudo | J'en ai pas vraiment. Disons que je m'appelle Julien, ce sera plus simple  The storm as father - Narcisse  1f60a Âge | 27 printemps (pfiou, ça fait mal de l'écrire). Plat préféré | Le Hachi parmentier, c'est trop bien. Comment trouves-tu le forum ? | J'adoooote le design (et le concept, of course) Comment as-tu découvert le forum | Je me mate la série sur Disney Plus en ce moment. Et j'adore Rick Riordan de base. Et, ayant fait du RP il y a plusieurs années, je me suis dit "N'existe-t-il pas un forum alliant les deux ?" Et vous avez Pop. À rajouter | En espérant que ce que je propose vous plaise !

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Re: The storm as father - Narcisse

Bienvenue à toi. Tom Holland ? J'aime ce choix d'avatar ! Je ne peux que valider. The storm as father - Narcisse  2947816253 J'ai hâte de voir ce que tu vas faire !
Bon courage pour ta fiche The storm as father - Narcisse  2559500981
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Re: The storm as father - Narcisse

Bienvenue sur Half God ! Si tu as des questions, n’hésite pas ✨ Que ce soit ici, par mp ou sur Discord ! Bonne continuation pour ta fiche.


Ava-May Crimson
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Re: The storm as father - Narcisse

Hello @Narcisse Milburn,

Déjà, j'adoooore ton personnage ! Ta plume est super plaisante à lire, on est vraiment dans la tête de ton personnage, c'est incroyable !

Juste un petit détail, par soucis d'équité pour les autres membres : il faudrait faire le choix entre création et contrôle d'électricité, pour l'instant. Déjà que tu auras assez de PP, tu pourras tout à fait acheter le second pouvoir et/ou le fusionner avec le premier pour avoir l'électrokinésie dans sa globalité. Si tu choisis le contrôle, je te propose d'avoir un joli taser avec toi lorsqu'il faut beau (lorsqu'il fait moche, il pourra utiliser l'électricité dans l'air sans problème) et que tu es en extérieur (en intérieur, avec toute cette technologie du 21e siècle, il y a de quoi de démerder sans problème).

Une fois ce petit détail, ce sera tout bon !


Narcisse Milburn
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Re: The storm as father - Narcisse

Oh merci beaucoup pour la réactivité et les commentaires ! Super content que mon petit Narcisse plaise. 😁

Les modifications à son pouvoir son effectuée du coup !
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Re: The storm as father - Narcisse

Bienvenue sur le forum ! The storm as father - Narcisse  2854464720
Quel personnage flou que voici. Ta fiche est fantastique, bien écrite et prenante. Je suis sincèrement intriguée par Narcisse et surtout ce qu'il a pu nous cacher dans son histoire huhu. Jvais me faire plaisir à jeter Clayton sur sa route The storm as father - Narcisse  4150636089


The storm as father - Narcisse  Clayton%20Signa
Alexis Nyqvist
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Re: The storm as father - Narcisse


Validation

Quel récit prenant ! On a hâte de voir ce petit électron libre en rp. Ta fiche est officiellement validée !

À partir de maintenant, ta fiche n'est plus modifiable. Si tu souhaites changer quelque chose, il faudra passer par un•e admin. Si tu as des questions, n'hésite pas ! Et surtout, amuse-toi bien sur le forum !


guide du validé


Tu as maintenant accès à l'entièreté du forum. À toi les balades à dos de pégases, les escalades du mur du lave, les sessions du Jeu de siège et autres amusements divers et variés ! Le monde est grand, alors pour ne pas te perdre, voici un petit guide qui te mènera vers les beaux plus endroits du forum :

▬ Les annexes te sont accessibles à n'importe quel moment si un détail t'échappe. Tu y trouveras, entre autre, les descriptions des espèces, le fonctionnement des camps et même un lexique !
▬ Les journaux intimes te sont vivement conseillés si tu désires faire le point sur tes relations avec les autres ou voir un peu qui est ami avec qui. Ils te permettront également d'organiser tes rps !
▬ Pour bien commencer dans ce forum, il faut rp. Les demandes de rp sont donc ouvertes à tous ! Va jeter un coup d’œil aux demandes en cours ou ouvre la tienne ! Qui sait, tu trouveras peut-être quelqu'un pour partir en quête avec toi...
▬ Tu as peur d'avoir trop de PP et de crouler sous cette puissance inutilisée ? Viens augmenter ton pouvoir ou acheter des objets magiques !
▬ Envie de pimenter un peu tes rps ? Tu peux faire un tour sur nos lancers de dés pour essayer de jouer un peu avec le destin. Après tout, la chance sourit aux audacieux...
▬ Après toutes ces émotions, tu as peut-être envie de te détendre ? Le Casino Lotus ouvre ses portes juste pour toi ! Et si ce n'est pas suffisant, viens lire les précédentes éditions du Satyre Déchaîné, le journal fait par et pour les êtres mythologiques !
▬ Et enfin, n'oublie pas de t'amuser ! Au plaisir de te croiser sur le forum, jeune padawan.





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