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Family is what we make it be
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Lilith Rider
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Lilith RiderNon validé·e
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  • MC : Drew Hopper
  • Parent divin : Pluton
  • PP : 32
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Family is what we make it be

RIDER Lilith
from shadows to wisdom

Age | 28 ans Groupe | Romaine Parent divin | Pluton Feat | Millie Brady

Armes
Lilith garde cinq armes sur elle quasiment tout le temps. La première est un stylet en or impérial, caché en barrettes dorée qu’elle accroche dans ses cheveux. La seconde est une arbalète entièrement démontable, avec une hanse, qu’elle garde dans son sac à main. Les deux derniers sont des couteaux jumeaux en fer stygien, changeable en boucles d’oreilles noires, qui reviennent toujours près de leur propriétaire. La dernière est une canne, en fer stygien elle-aussi, avec un mécanisme cachant une lame, contrôlable depuis la hanse. La canne est rétractable pour pouvoir entrer dans son sac à main, et est très pratique pour aider ses camarades en cas de besoin.

Pouvoirs
Actif : Géokinésie Fille d’un dieu des sous-sols, Lilith peut générer des tremblements de terre autour d’elle. Elle maîtrise la magnitude de ceux-ci mais, plus ils sont violents, plus ils l’épuisent.
Actif : Gestion des ombres Si Erebe est le dieu de l’obscurité infernale, tous les dieux infernaux sont liés à l’ombre. C’est une particularité dont Lilith a hérité. Elle peut absorber les ombres dans ses armes en fer stygien, pour les disperser. Ensuite, elle peut relâcher cette ombre où bon lui semble. Maintenir l’ombre lui coûte de l’énergie, mais pas autant qu’en absorber.

Passif : Nyctalopie L’ombre est son élément. Elle ne la craint pas et y voit aussi bien qu’en plein jour. Après tout, il n’y a pas beaucoup de lumière dans les souterrains de son père.  


Half blood, half human
all heroes

Histoire

Aucun sang-mêlé n’est pleinement normal, au milieu des humains. Dans mon cas, je n’étais pas non plus à ma place. Ce n’était pas ma faute. Peut-être que ce n’était pas la sienne, même si je pense que si. Par elle, je veux dire ma mère.

Pendant trois ans, ça allait. J’étais la nouvelle obsession d’une star dynamique, pleine de vie, fêtarde. Pluton a le chic pour trouver la beauté dans son opposé… pour elle, j’étais la parfaite poupée, le trésor idéal. Peut-être qu’elle me savait divine, que ça lui plaisait d’avoir quelque chose de brillant et de précieux. Mais voilà, j’étais… différente. Quand j’ai pu mettre mes premiers mots dessus, elle a brutalement compris, réalisé. Je n’étais pas une pierre précieuse, ou une autre attraction.

Pendant cinq ans, j’ai essayé de redevenir le centre de son univers. A cet âge, je ne pouvais pas savoir, pas comprendre. Qu’est-ce qui est plus important, à trois ans, que l’amour de sa mère ? Il m’a fallu cinq ans pour comprendre. A huit ans, le plus important, c’était mon propre bonheur. J’étais si sûre que, de toute façon, ça n’allait rien lui faire. Elle avait arrêté de m’aimer, même arrêté de me considérer.

Je ne savais pas ce que je faisais, quand je suis partie. Je savais que j’avais besoin d’air. Peut-être que, quelque part, j’espérais le trouver, lui. Mais les dieux n’ont pas le temps pour leurs enfants. Il faut surveiller les morts, s’assurer de la richesse des sols, contrôler les métaux. J’ai fais la paix avec cette idée : le rôle de mes parents biologiques s’arrêtaient là.

Au fond, quand on est entre dieu et humain, aucun des deux partis ne peut vraiment nous comprendre. On est des étrangers, avec une expérience trop différente. Mais d’autres demi-dieux… je ne savais pas mettre les mots dessus, en ce temps. Ils étaient juste des enfants plus grands, qui voyaient aussi les monstres. Enfin, ils faisaient bien plus que les voir…

Je suis arrivée à la nouvelle Rome.

Là-bas, un couple tranquille a décidé de m’offrir un toit. Je devais attendre de grandir, de rejoindre la légion. Pendant deux ans, j’avais à nouveau trois ans, d’une certaine manière. J’existais, à leurs yeux. Ils me punissaient quand j’agissaient mal, m’apprenaient à étudier, mangeaient des gâteaux avec moi autour de jeux de société. J’avais une vrai famille parmi eux. Je me sentais acceptée, vue, comprise.

Même en rejoignant la légion, je n’ai pas perdu contact. Je ne peux pas dire qu’ils aient comblés un vide, cela dit. Ma mère n’a pas laissé de trou. Non, bruyante et lumineuse comme elle était, elle ne pouvait pas passer inaperçu. A la place, elle m’a rempli de tout le chaos de ses décisions, d’abandon, de peur, de méfiance. Mes nouveaux parents ont pris le temps d’observer chaque partie pointue qu’elle avait enfoncé dans mon âme, pour les remplacer par des parts lisses, saines. A ce moment, dans la légion, je faisais le deuil de ces parties.

C’est bête, en un sens. Même quand une dent nous fait souffrir le martyr, on repasse sur la plaie, quand on nous l’arrache. Peut-être que c’était ça… je perdais enfin ce que je n’avais jamais vraiment eu : ma relation avec ma mère biologique. Entre ce fait, plus perturbant que tout ce que j’ai connu, et l’adolescence qui me plaçait contre ma nouvelle famille, j’ai eu des années… difficiles.

Je suis sorti de la légion à vingt ans. J’ai rejoint un cursus très classique : la lutte contre les monstre. Peut-être que je cherchais ma place, peut-être que je ne savais pas trop quoi faire d’autres. Mes parents ont douté mais m’ont soutenu. En ce temps, tout paraissait encore paisible, à la Nouvelle Rome.

J’ai arrêté pendant ma licence, quand le bordel du labyrinthe de dédale s’est déclaré. Je ne pense pas que c’est ce qui a déraillé mes études : je voulais autre chose, de toute façon. J’en ai profité pour offrir mon aide là où je pouvais, entre quelques opérations, beaucoup d’organisation et un peu d’accompagnement des victimes. Même si, comme tout le monde, cette horreur m’a éclaboussé, je crois que je m’en sors vraiment très bien.

Quatre ans ont passé, quatre ans pendant lesquels je me suis reconvertis. Tout n’était pas fini que je me suis réinscrite à l'Université Théodose II, en linguistique. Je pensais que ma vie était de retour sur les railles, et que tout était tracé pour de bon. J’avais fait la paix avec les parts de moi perdues dans ma guérison, et avec celles acquises au Camp Jupiter. Mais le Destin n’aime pas que les héros fassent la paix.

Léo Rider a déboulé dans ma vie comme un boulet de canon. Je ne sais même pas à quel point il le réalise.

J’ai passé les deux dernières années à retourner notre histoire dans tous les sens. Notre père, dieu des sous-terrains, à encore trouvé quelque chose à notre mère, après ce qu’elle m’a fait. Les dieux n’ont pas de temps pour nous. Mais quand même, quelque part, je m’imaginais qu’il lui en tenait rigueur. Et elle…
Au début, j’ai cru que, peut-être, je lui manquais. Elle a gardé cet enfant en espérant sauver les années perdues, depuis mes trois ans, comme une deuxième chance. Puis j’ai cru qu’elle voulait un petit normal, qu’elle revivait son phantasme idiot. Et enfin, Léo m’a parlé d’elle. J’ai presque eu plus de chance que lui…

Mais même en sachant ça, son récit est resté en travers de ma gorge. Il parle de sa nourrice comme d’une trace de haine. Je n’ai pas de bon souvenir où quelqu’un m’accompagne où que ce soit, s’intéresse à moi. Je ne lui ai pas dit. Son vécu sera forcément différent du mien. Et puis, je suis une grande-sœur, maintenant, je dois prendre soin de lui. Ça ne serait pas dans son intérêt…

Son retour a fait repousser plein de choses, en moi, que je croyais disparue. Dès que quelqu’un n’avait pas de temps pour moi, je retombais en enfance, quand personne ne voulait m’accorder une conversation. L’abandon s’est dressé comme un cauchemar, encore. J’ai commencé une thérapie, pour gérer mon trauma. C’était bizarre, au début, parce que j’ai connu l’enfant de Bacchus qui s’occupe de moi pendant ses dernières années de service, quand j’étais encore une petite nouvelle.

J’ai fait en sorte de le voir souvent, pour les grands évènements. C’est même moi qui ait servi de guide à sa petite amie, pour la rentrée. Je sais que ma famille ne ressemble plus à rien. J’avais prévu de tirer un trait sur ma mère, sur ce qui la concerne. Il ne fait pas parti de ma « nouvelle famille » par le sang. Mais le sang ne veut rien dire et, comme moi, il n’est pas responsable d’elle. C’est donc mon frère, sans être le fils de mes parents. De toute façon, la famille est toujours un sujet plus compliqué, pour un sang-mêlé.


Physique
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Caractère
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Pseudo | Enoris Leinwand Âge | Quelques années de moins que Lilith Plat préféré | Non mais c’est pas possible de choisir, dans un monde où les fraisiers, les knepfle et les raclettes coexistent avec plein d’autres inventions indispensables du monde culinaire. Comment trouves-tu le forum ? | Par-fait ! Tout le monde est adorable, les evênement s’enchaînent de façon dynamique, le journal est à couper le souffle et le thème est magnifique ! Comment as-tu découvert le forum | J'ai déjà un compte (celui de Drew). Je l'ai connu par le bouche à oreille. À rajouter | J'ai trop de hype !
Amunet Badran
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Re: Family is what we make it be

Rebienvenue avec ce perso !!! Contente que Lilith soit tentée, elle a l'air trop cool !! Hâte de la découvrir sous ta plume Family is what we make it be 2854464720
Ava-May Crimson
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Re: Family is what we make it be

Re bienvenue ! J'ai trop trop trop hâte de rp avec Lilith et de te voir la jouer ! Ca fait trop plaisir de la voir prise en main !


Léo Rider
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Léo RiderQui veut tâter de ma hache ?
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Re: Family is what we make it be

Salut grande sœur !!!
Je suis hyper hyper hyper content de la voir entre tes mains !


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    Re: Family is what we make it be

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