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Drew HopperPensionnaire
Re: Le grand retour chez moi
Dim 22 Sep 2024 - 15:31
« Oui, il a ce qu’il parait, je me débrouille pas trop mal. »
Son regard se perd un peu, une seconde, comme s’il plongeait dans le passé. Enfin bon, peut-être qu’il plonge dans l’avenir. Mais l’avenir, en tant que sang-mêlé… non Drew ! Positif ! Les gens positif font moins peur, et supportent mieux de terrifier tout le monde. Tu es le soleil. Et puis tant mieux, parce qu’Apollon est pas fiable, dans le genre.
« J’espère que tu pourras me la montrer bientôt, dans ce cas. On en profitera pour voir si tu n’es pas trop rouillé‧e »
Mon sourire renaît, moins forcé, plus lumineux. Les meilleurs sourires sont ceux qu’on ne contrôle pas. C’est un truc de Linda, ça. Elle croit que je devrais sourire pour de vrai. Cela dit, elle pense aussi que je devrais sourire tout le temps, ou presque, donc elle sait pas ce qu’elle veut. Concentration Drew, tu t’égares !
« Tu sais, on est dans l’arène. » Je pousse mes affaires sur le côté. « Et rien ne m’empêche de tenter le coup. Mes valises sont sûres, j’ai pas peur. » Je leur souris. Quelques mécanismes de Landry se cache parmi les cadenas : le meilleur anti-vol. « Mais peut-être que tu es trop fatigué ? » Il a l’air de s’être beaucoup entraîné. Après, je crois pas qu’on puisse trop s’entraîner, pas avec ce qu’il y a dehors, pas si on veut vivre.
Son regard se perd un peu, une seconde, comme s’il plongeait dans le passé. Enfin bon, peut-être qu’il plonge dans l’avenir. Mais l’avenir, en tant que sang-mêlé… non Drew ! Positif ! Les gens positif font moins peur, et supportent mieux de terrifier tout le monde. Tu es le soleil. Et puis tant mieux, parce qu’Apollon est pas fiable, dans le genre.
« J’espère que tu pourras me la montrer bientôt, dans ce cas. On en profitera pour voir si tu n’es pas trop rouillé‧e »
Mon sourire renaît, moins forcé, plus lumineux. Les meilleurs sourires sont ceux qu’on ne contrôle pas. C’est un truc de Linda, ça. Elle croit que je devrais sourire pour de vrai. Cela dit, elle pense aussi que je devrais sourire tout le temps, ou presque, donc elle sait pas ce qu’elle veut. Concentration Drew, tu t’égares !
« Tu sais, on est dans l’arène. » Je pousse mes affaires sur le côté. « Et rien ne m’empêche de tenter le coup. Mes valises sont sûres, j’ai pas peur. » Je leur souris. Quelques mécanismes de Landry se cache parmi les cadenas : le meilleur anti-vol. « Mais peut-être que tu es trop fatigué ? » Il a l’air de s’être beaucoup entraîné. Après, je crois pas qu’on puisse trop s’entraîner, pas avec ce qu’il y a dehors, pas si on veut vivre.
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Léo RiderQui veut tâter de ma hache ?
Re: Le grand retour chez moi
Sam 28 Sep 2024 - 17:05
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Le grand retour chez moi
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Drew HopperPensionnaire
Re: Le grand retour chez moi
Dim 6 Oct 2024 - 20:22
Il recule et mouline de son épée, l’air s’électrifie. On est né pour ça, au fond. Le froid du combat remplace tout le reste, le froid nocturne et le tonner vivant, qui enclenche nos muscles.
« Ne t'en fais pas pour moi. Je m'inquiète plutôt pour ta forme, un long voyage à du t'épuiser. » Un sourire mesquin s’étire sur ses lèvres. Mon cœur accélère.
Je suis enfin parmi les miens, pour de bon, enfin, pour deux mois.
D’un geste, je replie mon ombrelle, la laissant de côté. Le monde m’écrase une seconde, devenu immense sans prévenir. Je déglutis. On est à l’étroit, derrière le petit voile de l’ombrelle. A l’étroit, ou en sécurité, selon comment on le voit. Mais sans on est… exposé. J’inspire un grand coup.
« Promis, j'essaierais de ne pas te décapiter. Ça serait dommage de ne plus pouvoir profiter de tes cupcakes. »
Je hausse les sourcils et me retiens de pouffer. M’éloignant de quelques pas de côté, j’assure l’appui sur mes jambes. Le sol, solide, envoie une vague de sécurité qui remplace l’ombrelle. Je peux presque sentir le périmètre autour de moi. J’inspire, invoque l’ombre pour donner tout son effet au chef d’œuvre de Landry. Elle brille, allumée par les ténèbres, quand je la dégaine.
La longue lame s’étire devant moi, striée de formes multicolores, brillant comme un arc-en-ciel de lumière au milieu de mes pouvoirs. Je lui souris, ma fidèle compagne, mon as personnel. Une étoile d’un bleu électrique se découpe, perdue dans les couleurs, sans doute banale aux yeux des autres. On ne voit les étoiles que de nuit, c’est ça qui me rend lumineuse. Personne ne peut perdre avec une arme aussi classe.
« Promis, je te laisserais une super carte à l’infirmerie, après. » Je ris, mon ombre grandissant, la terreur serpentant partout. Sans mon ombrelle, sans ce cache devant le monde, elle s’étale librement devant mes yeux, sur tous les visages autour. La peur, l’inconfort.
Je vais lui montrer ce que je sais faire. Il sera fier de moi !
« Ne t'en fais pas pour moi. Je m'inquiète plutôt pour ta forme, un long voyage à du t'épuiser. » Un sourire mesquin s’étire sur ses lèvres. Mon cœur accélère.
Je suis enfin parmi les miens, pour de bon, enfin, pour deux mois.
D’un geste, je replie mon ombrelle, la laissant de côté. Le monde m’écrase une seconde, devenu immense sans prévenir. Je déglutis. On est à l’étroit, derrière le petit voile de l’ombrelle. A l’étroit, ou en sécurité, selon comment on le voit. Mais sans on est… exposé. J’inspire un grand coup.
« Promis, j'essaierais de ne pas te décapiter. Ça serait dommage de ne plus pouvoir profiter de tes cupcakes. »
Je hausse les sourcils et me retiens de pouffer. M’éloignant de quelques pas de côté, j’assure l’appui sur mes jambes. Le sol, solide, envoie une vague de sécurité qui remplace l’ombrelle. Je peux presque sentir le périmètre autour de moi. J’inspire, invoque l’ombre pour donner tout son effet au chef d’œuvre de Landry. Elle brille, allumée par les ténèbres, quand je la dégaine.
La longue lame s’étire devant moi, striée de formes multicolores, brillant comme un arc-en-ciel de lumière au milieu de mes pouvoirs. Je lui souris, ma fidèle compagne, mon as personnel. Une étoile d’un bleu électrique se découpe, perdue dans les couleurs, sans doute banale aux yeux des autres. On ne voit les étoiles que de nuit, c’est ça qui me rend lumineuse. Personne ne peut perdre avec une arme aussi classe.
« Promis, je te laisserais une super carte à l’infirmerie, après. » Je ris, mon ombre grandissant, la terreur serpentant partout. Sans mon ombrelle, sans ce cache devant le monde, elle s’étale librement devant mes yeux, sur tous les visages autour. La peur, l’inconfort.
Je vais lui montrer ce que je sais faire. Il sera fier de moi !
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Léo RiderQui veut tâter de ma hache ?
Re: Le grand retour chez moi
Ven 11 Oct 2024 - 10:03
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Drew HopperPensionnaire
Re: Le grand retour chez moi
Ven 11 Oct 2024 - 22:34
Léo Je-suis-le-plus-dark-des-emo Rider sourit encore, détendu. Il connait l’endroit comme sa poche, ce qui ne surprend personne. On peut toujours le trouver là, avec sa hache, à essayer de ne pas trop décapiter qui que ce soit mais un peu quand même.
« C'est trop aimable de ta part ! » Il prend le temps d’admirer la rave party et mon cœur se gonfle de fierté pour Landry.
L’envie de lui raconter que Léo a aimé son épée explose dans mon ventre, déchire mon cœur. Je force le plus lumineux sourire que je peux à la couvrir. Le combat ne permettra pas que je me déconcentre.
Il attaque, sa lame noire fendant l’air faussement nocturne dans le claquement froid du métal. Il résonne dans mes os, vibre dans mon âge. Les coups s’enchaînent, ramenant mon esprit plus près de chez lui chaque fois. La maladresse s’efface presque instantanément, l’expérience du passé nourrissant mes coups.
Mais c’est Léo, en face.
Il n’a pas l’air fatigué alors que je m’essouffle déjà un peu. Ses mouvements sont fluides, gracieux. Rave Party est ma sœur, une part de moi. Mais la façon dont il résonne avec son arme, qui n’est pourtant pas une hache, est supérieure. Il recule d’un bond qui me permet d’inspirer une grande goulée d’air. Mes poumons brûlent. Un rire s’échappe de moi, comme un petit oiseau fuyant la terreur.
« Je vois que tu te débrouilles bien. » Sauf qu’il n’essaie pas pour de vrai.
Les cinq années qui nous séparent m’écrasent de toute la force de la fatalité. Il n’a rien à voir avec moi. Je serre les dents et me force à être plus souple, plus précise, plus forte. Mes jambes commencent déjà à me faire mal. Je suis rouillé.e, en moins d’un an.
Il faut que je convainque Linda de venir plus souvent.
Il s’élance vers moi, allonge une botte sous ma lame pour me toucher. Je hoquète en ma faufilant de côté, la lueur de mon épée tremblant comme mon bras. Je peux presque voir la lame s’enfoncer dans ma chair, alors même qu’elle ne m’a pas touchée. Je ravale tout ça, redouble de ténèbres, assez peu pour voir, assez pour que la lumière de Landry couvre les doutes. Il ne me laisse pas le temps de me calmer.
« Et encore ! » Je ris entre deux grosses respirations. « T’as rien vu ! » Je fonce, ma paume brûlante serrée autour de ma rave party, la force de Landry serrée dans mon poing.
Je serais à la hauteur de son cadeau !
Je m’appuie de toute mes forces vers Léo, qui comprend ce que je veux faire avant que je ne m’exécute. Mon corps entier tremble dans le choc de l’acier, à tel point que j’en perds mon équilibre.
J’aurais préféré rester digne, mais je m’effondre dans la poussière dans un hoquet. La sueur colle mes longs cheveux à mon cou. Je bondis sur mes jambes, un peu tremblante.
Je suis ridicule, mais on ne progresse pas en restant par terre. Je fais mouliner mon épée en reprenant position.
« Je vais bien ! » Je souffle.
« C'est trop aimable de ta part ! » Il prend le temps d’admirer la rave party et mon cœur se gonfle de fierté pour Landry.
L’envie de lui raconter que Léo a aimé son épée explose dans mon ventre, déchire mon cœur. Je force le plus lumineux sourire que je peux à la couvrir. Le combat ne permettra pas que je me déconcentre.
Il attaque, sa lame noire fendant l’air faussement nocturne dans le claquement froid du métal. Il résonne dans mes os, vibre dans mon âge. Les coups s’enchaînent, ramenant mon esprit plus près de chez lui chaque fois. La maladresse s’efface presque instantanément, l’expérience du passé nourrissant mes coups.
Mais c’est Léo, en face.
Il n’a pas l’air fatigué alors que je m’essouffle déjà un peu. Ses mouvements sont fluides, gracieux. Rave Party est ma sœur, une part de moi. Mais la façon dont il résonne avec son arme, qui n’est pourtant pas une hache, est supérieure. Il recule d’un bond qui me permet d’inspirer une grande goulée d’air. Mes poumons brûlent. Un rire s’échappe de moi, comme un petit oiseau fuyant la terreur.
« Je vois que tu te débrouilles bien. » Sauf qu’il n’essaie pas pour de vrai.
Les cinq années qui nous séparent m’écrasent de toute la force de la fatalité. Il n’a rien à voir avec moi. Je serre les dents et me force à être plus souple, plus précise, plus forte. Mes jambes commencent déjà à me faire mal. Je suis rouillé.e, en moins d’un an.
Il faut que je convainque Linda de venir plus souvent.
Il s’élance vers moi, allonge une botte sous ma lame pour me toucher. Je hoquète en ma faufilant de côté, la lueur de mon épée tremblant comme mon bras. Je peux presque voir la lame s’enfoncer dans ma chair, alors même qu’elle ne m’a pas touchée. Je ravale tout ça, redouble de ténèbres, assez peu pour voir, assez pour que la lumière de Landry couvre les doutes. Il ne me laisse pas le temps de me calmer.
« Et encore ! » Je ris entre deux grosses respirations. « T’as rien vu ! » Je fonce, ma paume brûlante serrée autour de ma rave party, la force de Landry serrée dans mon poing.
Je serais à la hauteur de son cadeau !
Je m’appuie de toute mes forces vers Léo, qui comprend ce que je veux faire avant que je ne m’exécute. Mon corps entier tremble dans le choc de l’acier, à tel point que j’en perds mon équilibre.
J’aurais préféré rester digne, mais je m’effondre dans la poussière dans un hoquet. La sueur colle mes longs cheveux à mon cou. Je bondis sur mes jambes, un peu tremblante.
Je suis ridicule, mais on ne progresse pas en restant par terre. Je fais mouliner mon épée en reprenant position.
« Je vais bien ! » Je souffle.
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Léo RiderQui veut tâter de ma hache ?
Re: Le grand retour chez moi
Mer 16 Oct 2024 - 12:21
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Drew HopperPensionnaire
Re: Le grand retour chez moi
Mar 22 Oct 2024 - 21:34
Le visage de Léo est un peu tordu, comme s’il retenait une remarque déplacée, ou un rire. Je redresse mon menton : hors de question que je me laisse abattre ! Les railleries de combat, ça fait partie du jeu. Mais j’ai un avantage : il ne peut rien dire de pire qu’Olliver ! J’ai de l’entraînement, pour ça !
« Essaie de garder tes jambes fléchies presque constamment. Prends une position une peu plus naturelle, ça va te permettre de garder ton équilibre sans impacter ton jeu de jambes. » Il allie les gestes à la parole pour m’aider.
Mon corps prend le pli, mais, d’ici douze secondes, dans le feu de l’action, je risque de recommencer.
« Prêt.e ? » Il se prépare. Je hoche la tête, même si quelque chose dans mon ventre cri que non, qu’il est plus grand, plus expérimenté, plus âgé et mieux bâti. Je resserre ma prise sur ma petite rave party.
Il ne bouge pas. Donc il veut que j’y aille.
Le manche est humide, sous ma main. Est-ce que je transpire parce que je fais un effort ou est-ce que j’ai les mains moites parce que j’ai peur ? Peu importe. J’inspire. La peur, je l’inspire aux autres. Entre nous deux, je ne suis pas lae plus effrayé.e.
Je fixe un point, m’élance théoriquement vers cette direction, ma lame haute, ma deuxième main prête à renforcer ma frappe. Je change de cible, presque au dernier moment, envoyant la force de mes hanches vers mes bras. J’ai l’impression que mes pieds s’enfoncent dans le sol.
Je serre les dents, m’entoure d’un peu d’ombre pour faire briller ma lame et laisse la terreur l’empêcher d’agir. Comme si un sang-mêlé pouvait être paralysé par la peur…
« Essaie de garder tes jambes fléchies presque constamment. Prends une position une peu plus naturelle, ça va te permettre de garder ton équilibre sans impacter ton jeu de jambes. » Il allie les gestes à la parole pour m’aider.
Mon corps prend le pli, mais, d’ici douze secondes, dans le feu de l’action, je risque de recommencer.
« Prêt.e ? » Il se prépare. Je hoche la tête, même si quelque chose dans mon ventre cri que non, qu’il est plus grand, plus expérimenté, plus âgé et mieux bâti. Je resserre ma prise sur ma petite rave party.
Il ne bouge pas. Donc il veut que j’y aille.
Le manche est humide, sous ma main. Est-ce que je transpire parce que je fais un effort ou est-ce que j’ai les mains moites parce que j’ai peur ? Peu importe. J’inspire. La peur, je l’inspire aux autres. Entre nous deux, je ne suis pas lae plus effrayé.e.
Je fixe un point, m’élance théoriquement vers cette direction, ma lame haute, ma deuxième main prête à renforcer ma frappe. Je change de cible, presque au dernier moment, envoyant la force de mes hanches vers mes bras. J’ai l’impression que mes pieds s’enfoncent dans le sol.
Je serre les dents, m’entoure d’un peu d’ombre pour faire briller ma lame et laisse la terreur l’empêcher d’agir. Comme si un sang-mêlé pouvait être paralysé par la peur…
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Re: Le grand retour chez moi
Jeu 24 Oct 2024 - 18:48
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Re: Le grand retour chez moi
Lun 28 Oct 2024 - 21:47
La lame s’approche. Mon cœur accélère. Je vais vraiment le faucher ? Je ne peux plus m’arrêter, de toute façon.
Il se contorsionne à la dernière minute. Pour le fils d’un dieu avec pour symbole le chien, il est très félin. Je souris, alors qu’il s’échappe, le souffle court. La peur l’a eu. Ma peur l’a eu. J’ai surpris Léo ! Il rit en reprenant son équilibre. S’il rit, alors, je suis à la hauteur, je suis un adversaire d’intérêt. J’ai envie de hurler et de bondir, mais je garde mon calme. Ça le ferait pas, de faire autre chose que d’arborer un grand sourire.
Après ça, il s’installe en mode héros d’anime. On dirait qu’il va fendre en deux des balles de pistolet.
« T'as bien failli me découper ! On remet ça ? »
Je hoche la tête, galvanisé.e. Je maintiens mes genoux fléchis et fonce. L’énergie de Landry pulse dans la paume de ma main, comme si la lame vibrait avec son âme. Il est sûrement avec le père de Léo, maintenant. Il existe une chance qu’il le sache, si son œuvre perd face à un fils d’Hadès, non ?
Je me stoppe, cela dit, m’arquant pour éviter la lame qui menace mon ventre, juste quand Léo dégaine un poignard qu’il installe sous ma gorge. Mon souffle se coupe. La nuit pulse en moi. Ma mère a installé son palais dans le domaine de son père, sans se soucier qu’il accepte ou non. Elle ne demande l’avis de personne. C’est une déesse toute puissante, égoïste. Même Zeus ne lui fait pas peur. J’essaie, encore, de lui ressembler un peu.
Mais je suis le soleil dans la nuit, la beauté des étoiles. Je n’ai rien à voir avec le pouvoir inarrêtable du jour qui meurt encore et encore. Je me mords la lèvre et tremble, comme si l’idée de perdre faisait disjoncter mon corps. Je sers les poings. Il a gagné.
« Je l’ai pas vu venir. » Je grimace. « Si t’étais pas un sang-mêlé, j’aurais de sacré maux d’estomac, là. » Je ris en m’écartant, chassant toute l’ombre. La lumière éteint les dessins phosphorescent de ma petite rave party. Elle est beaucoup moins impressionnante, comme ça.
Cela dit, sa coupe élégante me rappel les déco de mon mini-frigo et les lames discrètes de mon ombrelle. C’est son travail. Son travail est parfait. Je souris et roule des épaules, pour réchauffer mes muscles. Son chef d’œuvre n’a pas le droit de finir sur une défaite.
« Tu peux m’apprendre comment on fait ça ? » J’essaie d’imiter sa posture, les pieds dans la poussière, ma petite Rave Party à mes côtés.
Il se contorsionne à la dernière minute. Pour le fils d’un dieu avec pour symbole le chien, il est très félin. Je souris, alors qu’il s’échappe, le souffle court. La peur l’a eu. Ma peur l’a eu. J’ai surpris Léo ! Il rit en reprenant son équilibre. S’il rit, alors, je suis à la hauteur, je suis un adversaire d’intérêt. J’ai envie de hurler et de bondir, mais je garde mon calme. Ça le ferait pas, de faire autre chose que d’arborer un grand sourire.
Après ça, il s’installe en mode héros d’anime. On dirait qu’il va fendre en deux des balles de pistolet.
« T'as bien failli me découper ! On remet ça ? »
Je hoche la tête, galvanisé.e. Je maintiens mes genoux fléchis et fonce. L’énergie de Landry pulse dans la paume de ma main, comme si la lame vibrait avec son âme. Il est sûrement avec le père de Léo, maintenant. Il existe une chance qu’il le sache, si son œuvre perd face à un fils d’Hadès, non ?
Je me stoppe, cela dit, m’arquant pour éviter la lame qui menace mon ventre, juste quand Léo dégaine un poignard qu’il installe sous ma gorge. Mon souffle se coupe. La nuit pulse en moi. Ma mère a installé son palais dans le domaine de son père, sans se soucier qu’il accepte ou non. Elle ne demande l’avis de personne. C’est une déesse toute puissante, égoïste. Même Zeus ne lui fait pas peur. J’essaie, encore, de lui ressembler un peu.
Mais je suis le soleil dans la nuit, la beauté des étoiles. Je n’ai rien à voir avec le pouvoir inarrêtable du jour qui meurt encore et encore. Je me mords la lèvre et tremble, comme si l’idée de perdre faisait disjoncter mon corps. Je sers les poings. Il a gagné.
« Je l’ai pas vu venir. » Je grimace. « Si t’étais pas un sang-mêlé, j’aurais de sacré maux d’estomac, là. » Je ris en m’écartant, chassant toute l’ombre. La lumière éteint les dessins phosphorescent de ma petite rave party. Elle est beaucoup moins impressionnante, comme ça.
Cela dit, sa coupe élégante me rappel les déco de mon mini-frigo et les lames discrètes de mon ombrelle. C’est son travail. Son travail est parfait. Je souris et roule des épaules, pour réchauffer mes muscles. Son chef d’œuvre n’a pas le droit de finir sur une défaite.
« Tu peux m’apprendre comment on fait ça ? » J’essaie d’imiter sa posture, les pieds dans la poussière, ma petite Rave Party à mes côtés.
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