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Défaut fatal: Joue littéralement sa vie à pile ou face
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Kleman DunnPensionnaire
On partage rien sauf l'oxygène - Kleman Dunn
Mer 25 Mar 2020 - 18:37
Kleman, Dunn
here to kick ass
Age | 16 ans Groupe | sang-mêlé grec Parent divin | Tyché Feat | Cole Sprouse
Armes
Une paire de chevalières dorées qui se se déploient sur le dessus de ses mains en poings américains. Après ses 3 années de demandes incessantes auprès de Chiron il a finalement obtenu de se les faire forger à condition de ne pas s'en servir sur les autres pensionnaires de la colonie. Mais il garde tout de même une dague classique à la ceinture par soucis de sécurité.
Pouvoirs
Pouvoir passif : (rien de plus simple quand sa mère est la déesse de la fortune) Kleman est juste chanceux, extrêmement chanceux, tout lui réussi (dans la limite du raisonnable par exemple en combat il pourrait éviter miraculeusement des coups mais cela ne l'empêchera de se faire tuer ou blesser mortellement)
Pouvoir actif : sa chance naturelle se traduit par une facilité à apprendre tout et n'importe quoi en quelques heures en fonction de la complexité.
Pouvoir actif : sa chance naturelle se traduit par une facilité à apprendre tout et n'importe quoi en quelques heures en fonction de la complexité.
Half blood, half human
all heroes
Histoire
Je suis né dans le Massachusetts, à Pittsfield et pas dans les meilleures conditions.
Ma vie aurait pu se résumer comme ça : "Alors comme ça tu veux t’en aller ? Ou tu vas ? reste là.Tu vas pas te mettre chialer, tu sais que je déteste ça. Arrête un peu ton manège, je sais que t’as rien. C’était qu’une petite claque, un coup de poing dans ta p’tite tête."
Dans un calme glacial. Rien de plus.
Je sais que s'est pas sa faute, depuis que ma mère l'a quitté il a jamais sortit la tête hors de l'eau. Et quand il est comme ça il s'arrête plus. Je crois pas l'avoir vu sobre une seule fois. Il déblatérait des folies comme quoi ma mère était un déesse (mais genre, une vraie de vraie) et qu'elle était repartie au Mont Olympe maintenant qu'elle avait foutu en l'air sa vie, maintenant qu'elle lui avait laissé le fardeau de s'occuper un bébé demi-dieu. C'est ma voisine qui a appelé les services sociaux. J'avais dix ans et je ne l'ai plus jamais revu. C'était si simple pour eux : un enfant en danger hop on le sauve d'un père alcoolique. Pour moi c'était juste : je l'aime comme il est, tout simplement.
Ils m'ont foutu dans un foyer avec d'autres enfants tous aussi mal que moi. Aller dans une école de bourges quand on peut pas s'offrir un cahier, subir les visites des familles qui nous dévisagent comme des animaux à la fourrière et celles barbandes des juges pour enfants poir s'assurer qu'on allait pas finir comme nos géniteurs. Leur pitié condescendante à en vomir et l'espoir débile qu'ils font miroiter comme pour nous narguer. Je peux pas m'en plaindre même si j'ai détesté cet endroit, c'est là que j'y ai rencontré ma soeur de coeur : Anthéa. Elle avait quelques mois de plus que moi et ses parents étaient en prison. C'est avec elle que j'ai appris à fuguer, monter dans un train de marchandise jusqu'à Boston, découvrir les joies du vol, manipuler les touristes, chaparder les étals des marchés, fuir la police ventre à terre et cumuler les cases sur mon dossier disciplinaire. On traînait toujours ensemble avec un autre gamin qui l'avait accueilli avant que je n'arrive. Aaron m'avait-il dit s'appeler (et c'est bien la seule qu'on ait jamais pu se dire sans se crier dessus). Il devait avoir le même âge que nous et je dois avouer que je passais mon temps à en être jaloux. Non pas qu'il y ait forcément une raison à cela mais le voir toujours collé à ses basques comme son ombre avait tendance à m'irriter tout particulièrement. Très timide, il passait son temps à me fuir profitant qu'elle l'ait pris sous son aile pour échapper à mes excès d'humeur. Excepté ce petit moustiques j'y ai passé de bons moments. Je ne me suis jamais senti aussi vivant et en "famille". Ça me changeait de ces foutues réunions avec le psy que mes "parents adoptifs" ramenaient au foyer tout les week end pour régler mes soit disant problèmes et ces histoires de dieux.
J'ai essayé plusieurs fois de retourner à Pittsfield mais jamais aucune nouvelle de mon père, comme s'il avait disparu, comme s'il était mort... Tout ce qu'il me restait d'eux c'était un nom de famille et un album photo que j'avais réussi à récupérer dans notre ancienne ferme. Ils étaient magnifiques. C'était drôle de les imaginer aussi heureux sur la bécane de mon père, elle avec ses belles robes à fleur et ses cheveux comme des rayons de soleil, lui avec son sourire irréel et ses yeux verts pétillants. Comme si ces photos n'étaient que des mensonges.
Je suis resté presque trois ans dans ce foyer, n'y restant que pour dormir et encore pas toujours, préférant découvrir le monde et les nuits à la belle étoile en attendant un coup de fil apeuré de la "mégère". Un coup de chance de n'avoir jamais eu aucun ennuis que ceux que j'aimais créer pour exprimer ma frustration. Aucun avenir, aucune idée de quoi faire de mes dix doigts, aucune perspective à part celle de mourir avant d'être majeur. Parce qu'à 21 ans, je ne pourrais plus compter sur l'immunité judiciaire ni sur mes tuteurs.
C'est cette année là que ma "soeur" a disparu. Oui, elle aussi. Enfin... elle a plutôt été transférée dans un autre foyer. On m'a dit qu'elle avait été adoptée par un couple de l'autre côté des États Unis. San Francisco si je ne m'abuse. De toute façon c'était foutu, aucun moyen de revenir en arrière ou moi de la suivre. Ne restait plus que l'autre tanche de Aaron. C'est peut-être là que j'ai commencé à l'apprécier (c'est un bien grand mot pour la réalité, il faut quand même pas pousser mémé dans les orties ). Depuis l'adoption d'Anthéa, il n'avait jamais eu l'air aussi stressé, presque comme s'il flippait pour tout et pour rien, et avait obtenu, pour mon plus grand malheur, que nous partagions notre chambre. L'été qui suivit il réussi par je ne sais quelle entourloupe à inventer auprès de nos tuteurs qu'il m'emmenait dans un camp de vacances pour jeunes défavorisés.
Je ne sais pas trop comment je l'ai pris. Un gros mélange de pleins d'émotions différentes. Une part de moi éclatait de joie en découvrant que mon père avait raison et que je n'étais absolument pas dingue. Tout était vrai, effrayant mais tellement excitant avec une pointe d'envie dévorante de se sentir enfin appartenir définitivement à un groupe sans avoir à se battre pour sa place. Mais une part bien plus imposante me hurlait trahison aux oreilles. Une envie irrépressible de réduire en bouillie ce petit crétin d'Aaron pour ne jamais m'avoir révélé tout ça. Comme si je ne pouvais m'empêcher de me dire que j'avais raison, qu'on ne pouvait réellement faire confiance à personne. La cerise sur le gâteau fut d'apprendre qu'en plus d'être un demi-dieu, Anthéa pouvait bien en être une également. Et dire qu'elle m'avait été enlevée alors qu'elle aurait pu être en sécurité ici. A quelques mois près ! Ils méritaient tous que je leur refasse le portrait.
Après un certain temps, je consentis à revenir ici tout les étés en gardant le droit de retourner au foyer dans l'espoir secret qu'Anthéa revienne. C'était mon unique décision qui tint durant 3 longues autres années d'attente où elle ne refit jamais surface.
J'eu droit aux monologues d'Aaron (qui se révèlait être un satyre chargé de la protection des jeunes demi-dieux ) concernant les monstres qui risquaient de venir nous rendre visite au fur et à mesure que mes pouvoirs se réveillaient et s'intensifiaient. Je refusais catégoriquement de lui adresser la parole sans pour autant ignorer toutes ces informations. Même si je ne pouvais plus lui faire confiance, mieux valais prévenir que guérir.
Ainsi, selon lui, ma mère n'étant pas une déesse majeure, mon odeur attirerait moins les monstres mais on était tout de même susceptibles d'en rencontrer. Je me devais donc de rester dans ma chambre le plus souvent possible et de poursuivre une formation au combat dès que je retournais à la Colonie. Apprendre était de plus en plus facile à tel point qu'il ne me fallait plus que quelques heures pour apprendre et maîtriser certaines techniques utilisant des armes que je pouvais trouver facilement dans un contexte ordinaire style ciseaux, couteau de cuisine, bâton ou tout type d'objet suffisamment lourd pour servir de masse.
Au fond de moi, même si je me refuse à l'admettre, je crois que j'avais fini par perdre espoir. C'est pour ça que je n'ai pas rechigné tant que ça lorsque Aaron m'a annoncé que ça devenait bien trop dangereux de rester si longtemps hors de la protection du camp, peu avant mon seizième anniversaire. Mais avant de partir j'ai pris le temps de cacher un message sous les lattes du plancher de la chambre d'Anthéa. Juste au cas où. Si par miracle elle rentrait, peut être tomberait-elle sur cette petite boîte renfermant une lettre ainsi que le petit lien de cuir orné des deux premières perles de terre reçues à l'issue des étés passés à la Colonie. Je sais que je n'ai pas le droit, je trouverai bien un mensonge pour éviter une sentence.
Ma vie aurait pu se résumer comme ça : "Alors comme ça tu veux t’en aller ? Ou tu vas ? reste là.Tu vas pas te mettre chialer, tu sais que je déteste ça. Arrête un peu ton manège, je sais que t’as rien. C’était qu’une petite claque, un coup de poing dans ta p’tite tête."
Dans un calme glacial. Rien de plus.
Je sais que s'est pas sa faute, depuis que ma mère l'a quitté il a jamais sortit la tête hors de l'eau. Et quand il est comme ça il s'arrête plus. Je crois pas l'avoir vu sobre une seule fois. Il déblatérait des folies comme quoi ma mère était un déesse (mais genre, une vraie de vraie) et qu'elle était repartie au Mont Olympe maintenant qu'elle avait foutu en l'air sa vie, maintenant qu'elle lui avait laissé le fardeau de s'occuper un bébé demi-dieu. C'est ma voisine qui a appelé les services sociaux. J'avais dix ans et je ne l'ai plus jamais revu. C'était si simple pour eux : un enfant en danger hop on le sauve d'un père alcoolique. Pour moi c'était juste : je l'aime comme il est, tout simplement.
Ils m'ont foutu dans un foyer avec d'autres enfants tous aussi mal que moi. Aller dans une école de bourges quand on peut pas s'offrir un cahier, subir les visites des familles qui nous dévisagent comme des animaux à la fourrière et celles barbandes des juges pour enfants poir s'assurer qu'on allait pas finir comme nos géniteurs. Leur pitié condescendante à en vomir et l'espoir débile qu'ils font miroiter comme pour nous narguer. Je peux pas m'en plaindre même si j'ai détesté cet endroit, c'est là que j'y ai rencontré ma soeur de coeur : Anthéa. Elle avait quelques mois de plus que moi et ses parents étaient en prison. C'est avec elle que j'ai appris à fuguer, monter dans un train de marchandise jusqu'à Boston, découvrir les joies du vol, manipuler les touristes, chaparder les étals des marchés, fuir la police ventre à terre et cumuler les cases sur mon dossier disciplinaire. On traînait toujours ensemble avec un autre gamin qui l'avait accueilli avant que je n'arrive. Aaron m'avait-il dit s'appeler (et c'est bien la seule qu'on ait jamais pu se dire sans se crier dessus). Il devait avoir le même âge que nous et je dois avouer que je passais mon temps à en être jaloux. Non pas qu'il y ait forcément une raison à cela mais le voir toujours collé à ses basques comme son ombre avait tendance à m'irriter tout particulièrement. Très timide, il passait son temps à me fuir profitant qu'elle l'ait pris sous son aile pour échapper à mes excès d'humeur. Excepté ce petit moustiques j'y ai passé de bons moments. Je ne me suis jamais senti aussi vivant et en "famille". Ça me changeait de ces foutues réunions avec le psy que mes "parents adoptifs" ramenaient au foyer tout les week end pour régler mes soit disant problèmes et ces histoires de dieux.
J'ai essayé plusieurs fois de retourner à Pittsfield mais jamais aucune nouvelle de mon père, comme s'il avait disparu, comme s'il était mort... Tout ce qu'il me restait d'eux c'était un nom de famille et un album photo que j'avais réussi à récupérer dans notre ancienne ferme. Ils étaient magnifiques. C'était drôle de les imaginer aussi heureux sur la bécane de mon père, elle avec ses belles robes à fleur et ses cheveux comme des rayons de soleil, lui avec son sourire irréel et ses yeux verts pétillants. Comme si ces photos n'étaient que des mensonges.
Je suis resté presque trois ans dans ce foyer, n'y restant que pour dormir et encore pas toujours, préférant découvrir le monde et les nuits à la belle étoile en attendant un coup de fil apeuré de la "mégère". Un coup de chance de n'avoir jamais eu aucun ennuis que ceux que j'aimais créer pour exprimer ma frustration. Aucun avenir, aucune idée de quoi faire de mes dix doigts, aucune perspective à part celle de mourir avant d'être majeur. Parce qu'à 21 ans, je ne pourrais plus compter sur l'immunité judiciaire ni sur mes tuteurs.
C'est cette année là que ma "soeur" a disparu. Oui, elle aussi. Enfin... elle a plutôt été transférée dans un autre foyer. On m'a dit qu'elle avait été adoptée par un couple de l'autre côté des États Unis. San Francisco si je ne m'abuse. De toute façon c'était foutu, aucun moyen de revenir en arrière ou moi de la suivre. Ne restait plus que l'autre tanche de Aaron. C'est peut-être là que j'ai commencé à l'apprécier (c'est un bien grand mot pour la réalité, il faut quand même pas pousser mémé dans les orties ). Depuis l'adoption d'Anthéa, il n'avait jamais eu l'air aussi stressé, presque comme s'il flippait pour tout et pour rien, et avait obtenu, pour mon plus grand malheur, que nous partagions notre chambre. L'été qui suivit il réussi par je ne sais quelle entourloupe à inventer auprès de nos tuteurs qu'il m'emmenait dans un camp de vacances pour jeunes défavorisés.
Je ne sais pas trop comment je l'ai pris. Un gros mélange de pleins d'émotions différentes. Une part de moi éclatait de joie en découvrant que mon père avait raison et que je n'étais absolument pas dingue. Tout était vrai, effrayant mais tellement excitant avec une pointe d'envie dévorante de se sentir enfin appartenir définitivement à un groupe sans avoir à se battre pour sa place. Mais une part bien plus imposante me hurlait trahison aux oreilles. Une envie irrépressible de réduire en bouillie ce petit crétin d'Aaron pour ne jamais m'avoir révélé tout ça. Comme si je ne pouvais m'empêcher de me dire que j'avais raison, qu'on ne pouvait réellement faire confiance à personne. La cerise sur le gâteau fut d'apprendre qu'en plus d'être un demi-dieu, Anthéa pouvait bien en être une également. Et dire qu'elle m'avait été enlevée alors qu'elle aurait pu être en sécurité ici. A quelques mois près ! Ils méritaient tous que je leur refasse le portrait.
Après un certain temps, je consentis à revenir ici tout les étés en gardant le droit de retourner au foyer dans l'espoir secret qu'Anthéa revienne. C'était mon unique décision qui tint durant 3 longues autres années d'attente où elle ne refit jamais surface.
J'eu droit aux monologues d'Aaron (qui se révèlait être un satyre chargé de la protection des jeunes demi-dieux ) concernant les monstres qui risquaient de venir nous rendre visite au fur et à mesure que mes pouvoirs se réveillaient et s'intensifiaient. Je refusais catégoriquement de lui adresser la parole sans pour autant ignorer toutes ces informations. Même si je ne pouvais plus lui faire confiance, mieux valais prévenir que guérir.
Ainsi, selon lui, ma mère n'étant pas une déesse majeure, mon odeur attirerait moins les monstres mais on était tout de même susceptibles d'en rencontrer. Je me devais donc de rester dans ma chambre le plus souvent possible et de poursuivre une formation au combat dès que je retournais à la Colonie. Apprendre était de plus en plus facile à tel point qu'il ne me fallait plus que quelques heures pour apprendre et maîtriser certaines techniques utilisant des armes que je pouvais trouver facilement dans un contexte ordinaire style ciseaux, couteau de cuisine, bâton ou tout type d'objet suffisamment lourd pour servir de masse.
Au fond de moi, même si je me refuse à l'admettre, je crois que j'avais fini par perdre espoir. C'est pour ça que je n'ai pas rechigné tant que ça lorsque Aaron m'a annoncé que ça devenait bien trop dangereux de rester si longtemps hors de la protection du camp, peu avant mon seizième anniversaire. Mais avant de partir j'ai pris le temps de cacher un message sous les lattes du plancher de la chambre d'Anthéa. Juste au cas où. Si par miracle elle rentrait, peut être tomberait-elle sur cette petite boîte renfermant une lettre ainsi que le petit lien de cuir orné des deux premières perles de terre reçues à l'issue des étés passés à la Colonie. Je sais que je n'ai pas le droit, je trouverai bien un mensonge pour éviter une sentence.
Physique
Kleman a physiquement rien de très enviable ou charismatique. Plutôt banal avec ses cheveux bruns chocolat au lait légèrement trop longs qui ont tendance à tomber sur son front en bouclant légèrement. Ses yeux verts sont entourés de cernes immenses comme des valises qui lui donnent un air sombre sur son teint hâlé, tout accentué par une cicatrice sur son arcade gauche qui n'est jamais vraiment partie. Son sourire pourrait être magnifique s'il daignait un peu le montrer. Après il faut pas se mentir, son visage est rarement aussi clean, plus souvent ravagé par des traces de coups incapable de se retenir de se battre.
Caractère
La première chose qu'on lui remarque c'est son caractère de merde, son agressivité, une tendance naturelle pour le conflit et les emmerdes en général, brutal dans sa façon de réagir un sorte de colère constante, impulsif imprudent sanguin et spontané comme s'il n'y avait jamais de conséquence. De loin on peut le trouver très silencieux, réservé et très observateur, plutôt asocial il préfère qu'on le laisse seul loin de toute activité nécessitant une quelconque équipe, méfiant de la moindre interaction. Il faut du courage pour venir engager la conversation, passer outre son air indifférent et froid, son insolence nonchalante, et encore plus pour déceler la lueur de maturité dans ses yeux et celle de curiosité qui le pousse à s'intéresser au maximum de choses toutes différentes. Sa témérité acquise au fil du temps, son cynisme et sa franchise tenace lui font comme une carapace. Dessous c'est un rebelle rusé qui s'est construit tout seul, autonome débrouillard capable de s'adapter facilement au monde qui l'entoure, certes têtu et pragmatique mais c'est un vrai petit malin animé par l'amour du jeu et de la compétition. Assez mauvais perdant et rancunier mais bien trop rarement pour que ça se remarque avec sa chance de cocu. C'est un gars intelligent et habile pour qui le sens de l'honneur est omniprésent. Lorsqu'il a choisit de vous laisser rester dans son cercle d'ami c'est définitif, assis exigent que loyal et juste envers lui et les autres, c'est à la vie à la mort. Vous pourrez compter sur lui les yeux fermés. Il serait capable de foncer dans le tas pour vous en sortir par la peau de cou. Mais pour y parvenir il faudra d'abord passer le test qui régi absolument toutes ses actions : le pile ou face qui pourrait bien finir par lui coûter la vie.
Behind the screen
who are you
Pseudo | Lou Âge | 21 ans Plat préféré | Poisson pané-crème anglaise Comment trouves-tu le forum ? | Magnifique, tout pile ce que je recherchais Comment as-tu découvert le forum | De longues heures de recherches sur Google tard le soir À rajouter |
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Re: On partage rien sauf l'oxygène - Kleman Dunn
Mer 25 Mar 2020 - 20:24
Bienvenue par chez nousss
Hâte de voir ce bg en action !
Hâte de voir ce bg en action !
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InvitéInvité
Re: On partage rien sauf l'oxygène - Kleman Dunn
Mer 25 Mar 2020 - 21:09
Bienvenito ici! Hâte de voir ce que ce fils de Tyché va faire!
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Re: On partage rien sauf l'oxygène - Kleman Dunn
Mer 25 Mar 2020 - 21:36
Bienvenue chez nous ! Il y a plein de choses intéressantes dans ton petit personnage (d'autant qu'on a pas encore d'enfant de Tyché donc c'est cool héhé)
Il y a cependant quelques points dans ta fiche sur lesquels nous aimerions revenir, afin qu'elle convienne mieux à l'univers du forum !
• C'est pas vraiment ta fiche, mais ton avatar n'est pas à la bonne taille ; nous demandons des avatars au format 200*400
• Actuellement, nous n'acceptons malheureusement plus les sang-mêlés grecs de plus de 16 ans, comme tu peux le voir dans la banderole sous la bannière du forum. Tes deux solutions sont soit de créer un demi-dieu grec plus jeune, soit de passer du côté des romains
• Quoi qu'il en soit, il est presque impossible pour un demi-dieu de survivre aussi longtemps dans le monde des mortels, et complètement impossible qu'il n'ait rencontré aucun monstre durant sa longue vie. Généralement, les pouvoirs passifs d'un demi-dieu commencent à se remarquer vers ses 8-10 ans (dans ton cas précis, c'est très discret donc peu remarquable), et les pouvoirs actifs vers ses 10-12 ans, période à laquelle il commence à sentir fort pour les monstres, et donc à subir de plus en plus d'attaques.
• Tes poings américains sont des armes très peu conventionnelles, surtout avec la modification de la lame qui en sort. On ne voit pas vraiment pourquoi il les recevrait de sa mère, qui n'a rien à faire avec de telles armes. Nous préférons généralement que les demi-dieux se fassent forger des armes une fois arrivés à la colonie, ou les trouvent dans l'armurerie, si vraiment. En ce qui concerne tes cartes, ce n'est pas impossible, mais qu'il les ait forgées lui-même sans être un forgeron, c'est étrange, et pour qu'elles soient tranchantes, il faut qu'elles soit faites de métal
• Est-ce que tu pourrais rajouter un poil plus de détail sur la raison qui l'a amené à la colonie, même si ton personnage ne le sait pas, afin que nous soyons au courant ? Ce n'est pas vital mais ça nous aiderait bien !
Je crois que c'est tout pour le moment, en espérant ne pas trop te faire peur ! On est un peu exigeants au début mais c'est surtout pour que tout le monde soit sur la même page et bien ancré dans l'univers du forum !
Il y a cependant quelques points dans ta fiche sur lesquels nous aimerions revenir, afin qu'elle convienne mieux à l'univers du forum !
• C'est pas vraiment ta fiche, mais ton avatar n'est pas à la bonne taille ; nous demandons des avatars au format 200*400
• Actuellement, nous n'acceptons malheureusement plus les sang-mêlés grecs de plus de 16 ans, comme tu peux le voir dans la banderole sous la bannière du forum. Tes deux solutions sont soit de créer un demi-dieu grec plus jeune, soit de passer du côté des romains
• Quoi qu'il en soit, il est presque impossible pour un demi-dieu de survivre aussi longtemps dans le monde des mortels, et complètement impossible qu'il n'ait rencontré aucun monstre durant sa longue vie. Généralement, les pouvoirs passifs d'un demi-dieu commencent à se remarquer vers ses 8-10 ans (dans ton cas précis, c'est très discret donc peu remarquable), et les pouvoirs actifs vers ses 10-12 ans, période à laquelle il commence à sentir fort pour les monstres, et donc à subir de plus en plus d'attaques.
• Tes poings américains sont des armes très peu conventionnelles, surtout avec la modification de la lame qui en sort. On ne voit pas vraiment pourquoi il les recevrait de sa mère, qui n'a rien à faire avec de telles armes. Nous préférons généralement que les demi-dieux se fassent forger des armes une fois arrivés à la colonie, ou les trouvent dans l'armurerie, si vraiment. En ce qui concerne tes cartes, ce n'est pas impossible, mais qu'il les ait forgées lui-même sans être un forgeron, c'est étrange, et pour qu'elles soient tranchantes, il faut qu'elles soit faites de métal
• Est-ce que tu pourrais rajouter un poil plus de détail sur la raison qui l'a amené à la colonie, même si ton personnage ne le sait pas, afin que nous soyons au courant ? Ce n'est pas vital mais ça nous aiderait bien !
Je crois que c'est tout pour le moment, en espérant ne pas trop te faire peur ! On est un peu exigeants au début mais c'est surtout pour que tout le monde soit sur la même page et bien ancré dans l'univers du forum !
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Inventaire:
Défaut fatal: Joue littéralement sa vie à pile ou face
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Kleman DunnPensionnaire
Re: On partage rien sauf l'oxygène - Kleman Dunn
Jeu 26 Mar 2020 - 14:29
Merci pour votre accueil !
J'ai apporté les modifications à ma fiche du coup, dites moi s'il faut que j'ajuste encore certaines choses et merci beaucoup Séraphina pour l'avatar !
J'ai apporté les modifications à ma fiche du coup, dites moi s'il faut que j'ajuste encore certaines choses et merci beaucoup Séraphina pour l'avatar !
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InvitéInvité
Re: On partage rien sauf l'oxygène - Kleman Dunn
Jeu 26 Mar 2020 - 15:56
Oh my god, Cole **
Bienvenue avec cette frimousse , hâte de le voir en action aussi
Bienvenue avec cette frimousse , hâte de le voir en action aussi
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Re: On partage rien sauf l'oxygène - Kleman Dunn
Jeu 26 Mar 2020 - 16:03
Poisson pané et crème anglaise
Bienvenue !!!
Bienvenue !!!
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InvitéInvité
Re: On partage rien sauf l'oxygène - Kleman Dunn
Jeu 26 Mar 2020 - 16:03
Bienvenuuue Kleman :D ! Super choix d'avatar et d'ascendance ** !
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Re: On partage rien sauf l'oxygène - Kleman Dunn
Jeu 26 Mar 2020 - 16:55
C'est re-moi !
J'avais oublié un petit détail ; en faisant passer ton personnage sous la limite d'âge du forum, il y a un problème vis-à-vis du règlement, qui stipule :
Avec Cole, qui a tout de même presque 28 ans, ça commence à être très fortement compliqué.
En l'occurence, à cause de Riverdale qui nous fait une série avec des acteurs de 30 ans pour jouer des adolescents de 16 ans, on veut bien te le concéder, à titre très exceptionnel
Dernière petite remarque de ma part, par rapport à tes armes : il n'y a pas nécessairement besoin de l'accord de Chiron pour se faire forger une arme, il suffit de passer commande à un enfant d'Héphaïstos. Cela dit, pour la sécurité de ton sang-mêlé, je pense que Chiron conseillerait quand même d'avoir au moins une dague avec soit lorsqu'il sort de la colonie, parce que des poings-américains ne vont pas servir à grand chose contre un monstre
J'avais oublié un petit détail ; en faisant passer ton personnage sous la limite d'âge du forum, il y a un problème vis-à-vis du règlement, qui stipule :
Votre avatar, ou faceclaim, devra correspondre plus ou moins à l’âge de votre personnage. Vous ne pouvez pas prendre une célébrité de plus de vingt-ans pour représenter un adolescent prépubère.
Avec Cole, qui a tout de même presque 28 ans, ça commence à être très fortement compliqué.
En l'occurence, à cause de Riverdale qui nous fait une série avec des acteurs de 30 ans pour jouer des adolescents de 16 ans, on veut bien te le concéder, à titre très exceptionnel
Dernière petite remarque de ma part, par rapport à tes armes : il n'y a pas nécessairement besoin de l'accord de Chiron pour se faire forger une arme, il suffit de passer commande à un enfant d'Héphaïstos. Cela dit, pour la sécurité de ton sang-mêlé, je pense que Chiron conseillerait quand même d'avoir au moins une dague avec soit lorsqu'il sort de la colonie, parce que des poings-américains ne vont pas servir à grand chose contre un monstre
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